• Photo : notions de base et capitalisme

    Bonjour!

    Aujourd'hui, je vous explique quelques notions de base à savoir sur la photographie.

    Plus on sait des choses sur la photographie, plus on sera avisé quand viendra le temps de s'acheter un appareil-photo.

     

    Par exemple, l'industrie photographique nous offre aujourd'hui des appareils compacts avec un zoom de 20X, 30X et même 50X.

    Il faut donc savoir d'où viennent ces chiffres de 20X, 30X ou 50X. Si je prends en photo un oiseau sur un fil avec le zoom étiré au

    maximum, mon oiseau sera-t-il grossi 20, 30 ou 50 fois? Et bien non, car ces chiffres font référence au ratio du zoom et non à son

    grossissement effectif. Ce n'est pas la même chose et il faut comprendre la différence pour ne pas se faire berner.

     

    Prenons comme exemple le Canon Powershot SX50 HS ayant un zoom de 4.3 à 215 mm.

    Dans le format 35 mm ce zoom du Powershot SX50 HS équivaudrait à un zoom de 24 à 1200 mm.

    Si nous divisons 1200 par 24 nous obtenons 50. Ce chiffre de 50 est le ratio du zoom. Nous allons de 24 à 1200 mm.

     

    Mais le grossissement effectif se mesure toujours à partir de l'objectif normal, soit 50 mm dans le format 35 mm.

    Donc 24 divisé par 50 donne 0.48 et 1200 divisé par 50 donne 24.

    Ce zoom avec un ratio de 50X a un grossissement effectif allant de 0.48X à 24X.

     

    Ainsi avec le zoom étiré au maximum sur un Canon Powershot SX50 HS, prendre une photo d'un oiseau sur un fil

    le grossira de 24 fois maximum et non de 50 fois comme on pourrait le croire quand on nous dit un zoom de 50X.

    Toutes les focales plus courtes que la focale normale diminuent la taille des objets dans l'image.

    Par conséquent en passant de la focale de 24 à 50 nous passons de 0.48X à 1X,

    autrement dit nous atteignons le grossissement zéro.

    C'est seulement après avoir dépassé la focale normale que nous grossissons réellement les objets par rapport à ce qu'on aurait

    obtenu en prenant la photo avec la focale d'un objectif normal, soit 50 mm en format 35 mm.

     

    Il va de soi que ça impressionne de voir dans une pub "appareil-photo avec zoom de 50X" mais gardons les pieds sur terre.

    Ce 50X est juste le ratio du zoom, pas la valeur de son grossissement effectif maximum réel.

    C'est un truc de marketing pour berner tout consommateur naif qui se laisse facilement influencer par les gros chiffres.

     

    Deuxième chose à savoir sur ces supers zooms de 20, 30 ou 50X.

    Ces zooms ont un grossissement qui impressionne mais il y a un prix à payer.

    Ce prix est la qualité des images qu'ils fournissent qui sera de passable à bonne.

    Des photos avec un piqué remarquable ne peuvent être obtenues avec ces super zooms.

     

    Pourquoi?

    Et bien l'optique à des lois qui ne peuvent être transgressées.

    Si on essayait de faire un sous-marin volant, il faudrait faire des compromis n'est-ce pas.

    Pour pouvoir voler, le sous-marin devrait être le plus léger possible et avoir de grandes ailes.

    Pour pouvoir aller en plongée profonde, le sous-marin devrait avoir une coque épaisse pour résister à la pression de l'eau

    et avoir des ailes relativement petites pour que le sous-marin n'ait pas de la difficulté à avancé sous l'eau.

    Notre sous-marin volant devrait donc être moyennement léger ou moyennement lourd si on peut dire.

    En vol comme en plongée, ses performances ne seraient pas terribles.

     

    Avec un super zoom c'est la même chose.

    En mode grand angle, le zoom tend à déformer les lignes verticales et horizontales en les gonflant vers l'extérieur.

    Ainsi, le contour rectangulaire d'une fenêtre tend à prendre la forme d'un ballon ou d'un baril.

    Pour compenser cet effet, le constructeur du zoom ajoutera dans le zoom des lentilles qui auront un effet inverse

    que l'on appelle en anglais un effet pincushion.

     

    Mais voilà, en mode téléobjectif, le zoom a justement tendance à produire cet effet de pincushion.

    Ainsi une fenêtre rectangulaire aura tendance à avoir une forme où son contour chercherait à se courber vers l'intérieur.

     

    C'est un peu comme quand on aspire l'air dans un contenant de jus en carton.

    Le contenant cherche à s'écraser sur lui-même à cause de la pression d'air qui s'exerce sur lui.

    Pour compenser cet effet de pincushion en mode téléobjectif, on ajoutera au zoom, des lentilles qui auront un effet de baril.

     

    Ce problème d'effet de baril et de pincushion ne peut être corriger parfaitement dans le zoom.

    Si le constructeur corrige trop pour la position grand-angle du zoom, en position téléobjectif, le résultat sera inacceptable.

    Et s'il corrige trop pour la position téléobjectif, c'est en position grand angle que le résultat sera inacceptable.

    Alors que fait le constructeur du zoom. Il fait du mieux qu'il peut ce qui donne un zoom fournissant des photos de qualité faible

    à moyenne. Pour vous le prouver par vous-même, regarder ce que disent les bancs de tests sur ces supers zooms.

    Ils ont toutes des notes de passables à moyennes, aucun de ces zooms n'obtient une note fantastique.

     

    Un autre problème est la mise au point des différentes longueurs d'ondes lumineuses.

    Les rayons lumineux qui entrent dans le zoom en position téléobjectif sont presque parallèle à l'axe optique.

    Mais en position grand angle, il faut plier ou courber les rayons lumineux qui entrent avec un angle beaucoup plus large

    dans le zoom. Cela amène un problème de mise au point des rayons lumineux sur le film ou capteur digital.

    Le constructeur tentera de corriger le problème en ayant des lentilles dans le zoom qui se déplaceront en fonction de la focale du

    zoom. Tout cela pour vous faire comprendre que faire un super zoom qui donnera des photos de qualité n'est pas une entreprise

    facile à réaliser. Il y aura toujours des compromis à faire. Un de ces compromis est d'accepter une qualité d'image plus basse

    mais d'avoir un super zoom qui offrira une plus grande possibilité de prise de vue.

     

    Donc je répète, on achètera un appareil-photo muni d'un super zoom pour les possibilités de prises de vue qu'il offre,

    pas pour obtenir de la finesse et un piqué d'image à couper le souffle dans les images qu'on prendra.

     

    À se rappeler, un super zoom c'est une très grande possibilité de prise de vue avec une qualité d'image de passable à bonne.

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    Un autre point à comprendre en photographie est la relation format et qualité d'image.

     

    Avec les appareils qui utilisent du film argentique, c'est facile à comprendre.

    Plus le format du film est grand, plus vous obtenez de la finesse, du piqué dans vos images.

     

    Les formats 4 X 5 et 8 X 10 peuvent fournir une très grande qualité d'image.

    Le moyen format sur film 120 ou 220 arrive en deuxième place.

    Le format 35 mm prend pour sa part la médaille de bronze.

     

    Mais pour un format donné, la différence de qualité est principalement dans l'objectif.

    Ainsi, dans le format 35 mm, prendre un photo avec un appareil compact à 50 dollars,

    ou prendre le même sujet en photo avec un reflex à 1000 dollars, la différence de qualité se trouve dans l'objectif

    car les deux appareils mettent respectivement leur image sur film 35 mm.

    Bon d'accord, le dos du film se doit d'être aussi de qualité pour que le film soit tenu le mieux possible derrière l'objectif

    sans aucune ondulation pouvant déformer l'image.

     

    Mais avec le digital c'est différent, on fonctionne en terme de pixel.

    On dit une caméra de 5 mégapixels, de 10 mégapixels ou 20 mégapixels.

    De plus avec le digital, il faut aussi tenir compte de la densité de pixel par unité de surface.

    Ainsi une caméra de 10 MB en format compact n'aura pas la qualité d'image d'un reflex de 10 MP.

    La raison de cela est que le capteur de la caméra compact est plus petit que celui de la caméra reflex.

    Et plus la densité de pixel par unité de surface est grande, plus il y aura du bruit dans l'image et le bruit dans l'image

    dégrade la qualité de l'image obtenue.

     

    C'est quoi ça du bruit dans l'image?

    C'est simplement que certains pixels prendront une valeur aléatoire dans l'image qui ne correspondra pas à la couleur

    des pixels qui l'entourent. Cela fera comme des petits points dans l'image. Mais sachez qu'on peut toujours améliorer l'image

    en utilisant un logiciel qui permettra de diminuer ce bruit.

     

    Donc en digital, ce qu'il faut comprendre, c'est que pour avoir le moins de bruit possible dans ces photos,

    il faut avoir le moins possible de pixel par unité de surface. Puisque les capteurs des appareils reflex sont plus

    grands que ceux des appareils compacts, à mégapixel équivalent, le reflex sort gagnant.

     

    Bien sûr, avec le digital tout comme l'argentique, la qualité de l'objectif est important.

    Mais les photographes sont des gens bizarres parfois. Ainsi ils peuvent avoir un objectif de 1000 dollars sur leur appareil,

    mais ils vont mettre un bas nylon ou un filtre pour obtenir des photos floues. Il est vrai qu'une jolie fille qui accepte de se faire

    prendre en photo, ne veut pas qu'on voit tout son grain de peau. Le photographe se doit de la faire paraître plus belle que nature.

    Il met sa tête sur le billot en quelque sorte lorsqu'il prend ce type de photo. La jeune fille doit être satisfaite du résultat. Sinon!!!

     

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    Si je devais donner un titre à cette section, ce serait quelque chose comme l'industrie photographique et le capitalisme.

     

    Nous vivons dans le capitalisme et je vous montre ce que cela cause comme problème en tant que photographe.

     

    Prenons le reflex et ses différents objectifs.

    À cause du capitalisme, il y a les marques de commerce.

    Et à cause des marques de commerce, les montures sur les boîtiers des reflex sont différentes selon la marque.

    S'il n'y avait pas de marque, on pourrait pour un format donné, utiliser n'importe lequel des objectifs conçus

    pour le format en question sur son reflex. Mais dans un monde capitaliste on ne peut pas faire ça.

    Tu possèdes un boîtier Canon, tu dois utiliser des objectifs avec une monture Canon et rien d'autre.

    Les marques de commerce ne veulent pas un acheteur occasionnel, ils veulent un acheteur qui restera lié à cette marque. 

    Ainsi le client reviendra acheter d'autres produits de cette marque car les autres produits des marques concurrentes ne seront

    pas compatibles avec son appareil-photo. Un produit existe d'abord pour enrichir la marque, pas pour donner satisfaction

    au client.

     

    Un autre exemple stupide engendré par le capitalisme.

    Le sabot pour connecter un flash externe.

    De nos jours, sur un appareil compact, si nous voulons avoir un sabot de contact pour mettre un flash externe,

    il faut se préparer à vider son porte-feuille de beaucoup de billet vert. Seul les modèles compacts "haut de gamme"

    ont un sabot pour un flash externe. C'est un peu comme si les fabricants nous faisaient une fleur en nous offrant

    la possibilité d'avoir un appareil compact qui a cette caractéristique.

     

    Regardez, en 1974, j'ai acheté un reflex Praktica LTL pour 150 dollars environ.

    Cet appareil à un sabot de contact, il a la pose B et puisque c'est un reflex, il peut accepter tout objectif à vis au pas de 42 mm.

    En 2005, j'ai acheté un petit compact digital Minolta Z20 pour environ 425 dollars.

    L'objectif zoom est solidaire du boîtier. Il n'a pas de sabot ou ne serait-ce qu'une prise PC pour flash.

    La mise au point manuel qui se fait en appuyant sur des boutons fonctionne mais ne vaut pas une bonne bague de mise au point.

    Oh! La! La! Combien faut-il payer pour avoir une simple prise PC pour pouvoir brancher un flash externe?

     

    Un autre fait causé par le capitalisme à la photographie au flash électronique.

    C'est le prix qu'il faut payer pour pouvoir avoir la synchro au flash sur le second rideau.

    Personnellement, je trouve qu'un flash électronique aurait tout simplement dû toujours avoir

    été synchronisé sur le second rideau. Mais non, au départ, on n'avait pas pensé que la synchro

    au flash sur le premier rideau n'était que stupidité.

     

    L'industrie photographique aurait pu corriger cette gaffe en mettant simplement la synchro sur le second rideau.

    Si  elle voulait continuer à offrir la synchro sur le premier rideau, simplement mettre un interrupteur sur le boîtier des appareils

    pour interchanger entre synchro sur premier rideau et synchro sur second rideau.

     

    Mais cette option nuisait considérablement au capitalisme. Tout photographe aurait en effet pu mettre n'importe quel flash

    électronique sur son appareil pour profiter de la synchro au flash sur le second rideau.

     

    Pour l'industrie capitaliste, la synchro sur le second rideau se devait d'être une option de luxe qui ne serait pas gratos.

    C'est pourquoi, le bouton pour choisir entre synchro sur premier ou second rideau n'est pas sur l'appareil mais sur le flash.

    Bien sûr, il va de soi qu'uniquement les flashes haut de gamme posséderont ce bouton magique.

    Alors quand un photographe veut bénéficier de cette option, il doit encore une fois plonger la main dans son porte-feuille et mettre

    sur le comptoir du magasin, une poignée de billets verts.

     

    La synchro sur le second rideau est une option haut de gamme pour l'industrie photographique alors qu'elle aurait dû avoir été

    mise sur les appareils-photos dès l'époque des frères Lumière. Le prix exorbitant que tout photographe paie aujourd'hui pour

    pouvoir profiter de la synchro au flash sur le second rideau est dû à la perversité du capitalisme.

     

    "La synchro sur le second rideau sera une option de luxe sur laquelle nous ferons du "cash" dessus."

    Voilà le cri du coeur de l'industrie capitaliste photographique. Cette industrie est là pour faire du "cash".

    Elle n'est pas là pour les clients. Payez et vous pourrez en profiter sinon passez votre tour. Point final.

     

    C'est un peu comme la mentalité d'Autocad Max. Payez et vous pourrez ouvrir un fichier avec une extension MAX sinon fuck you.

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    Vous comprenez peut-être un peu mieux maintenant pourquoi je déteste le capitalisme.

    Je vomirai toujours sur le capitalisme et toutes les incroyables stupidités qu'il engendre.

     

    Le capitalisme travaille-t-il pour nous ou contre nous?

    En fait, le capitalisme travaille pour lui donc il travaille contre nous.

     

    Le capitalisme se résume à faire un bénéfice sur la vente d'un service ou d'un produit.

     

    Pour pouvoir obtenir ce bénéfice financier, l'homme est prêt

    • à vendre sa mère
    • à vendre son âme à Satan
    • à mettre sa vie en danger
    • à espionner la concurrence
    • à s'emparer de plans de nouveaux produits de la concurrence par le vol
    • à utiliser illégalement des dispositifs brevetés dans la réalisation de son produit
    • à acheter ou éliminer la concurrence si nécessaire
    • à mentir sur la nocivité de son produit
    • à trahir les gens qui avaient confiance en lui
    • à se battre
    • à détruire des villes entières comme à la fin de la 2e guerre mondiale
    • à vendre des armes qui serviront à tuer des êtres humains
    • à s'associer à d'autres entreprises pour contrôler les prix
    • à chasser une espèce animale jusqu'à son extinction
    • à exproprier des gens de leur maison, de leur terre, dans le cas d'un gisement minier par exemple
    • à polluer l'atmosphère, les lacs, les rivières, les océans, le sol, tout y passe
    • à provoquer un désastre écologique d'importance comme celui de British Petroleum dans le golfe du Mexique
    • à saccager La Terre, la planète où il vit.
    • à utiliser l'énergie nucléaire dont les déchets radioactifs pollueront la Terre pendant des générations à venir.

     

    Il n'y a rien qui ne puisse être épargné afin d'éviter d'être sacrifié sur l'hôtel du bénéfice financier.

     

    Pour le capitalisme : tout se vend, tout s'achète, même votre silence, votre vie. Tout a un prix.

     

    L'homme capitaliste est aveugle car il a un signe de piastre devant chaque oeil qui lui obstrue la vue.

     

    Regardez par exemple le cas de la vache folle. Des éleveurs de bétails dans le but de sauver de l'argent sur la moulé pour nourrir

    les bêtes ont tout simplement transformé des carcasses d'animaux morts en poudre et l'ont donné à manger aux bêtes.

    Résultat, les vaches sont devenus folles. Qui a payé la note? Ici au Canada, le gouvernement a dédommagé les pertes encourues

    par les éleveurs, donc cet argent provenaient des impôts des contribuables.

     

    Par conséquent c'est nous, le petit peuple qu'on a voulu baiser et c'est nous le petit peuple qui avons payé la note.

     

    Un autre exemple, aux États-Unis, il n'y a pas longtemps, le gouvernement est intervenu pour sauver les banques et les grandes

    entreprises automobiles. Donc l'argent provenait encore des contribuables. Le petit peuple volant au secours des banques et des

    grandes entreprises automobiles. Était-ce la faute de l'homme de la rue, si la gestion financière déficiante des banques et de

    l'industrie automobile les avaient conduit tout droit près du bord du gouffre de la faillite?

     

    Ce même gouvernement serait-il intervenu pour sauver une petite entreprise de 10 personnes?

    Certainement pas, une petite compagnie doit gérer ses finances avec intelligence sinon c'est la faillite. Point final.

     

    À propos, qu'on fait les banques avec l'argent des contribuables?

    Selon un article lu sur le web, elles ont continué à investir cet argent

    dans les mêmes domaines qui les avait amené au bord du gouffre.

    Le capitalisme a simplement dit au petit peuple : fuck you and thank you for the money.

     

    Mais en attendant la disparition de cette bête noire qu'est le capitalisme, je ferai comme tout le monde.

    Je plongerai ma main dans mon porte-feuille et je mettrai plus de billets verts sur le comptoir du magasin.

    Il faut bien qu'on le nourrisse ce capitalisme, faire tourner la roue de l'économie comme on dit

    et le capitalisme est un monstre toujours affamé qui se nourrit exclusivement que de billet vert.

     

    Mes amis!

    Remercions le ciel.

    Le capitalisme malgré sa très grande stupidité a permis que l'on normalise les prises électriques et de téléphones.

    Au moins, une bouilloire et un grille-pain de marque différente, peuvent être branchés dans la même prise. Merci mon Dieu!

    À la prochaine!

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  • Commentaires

    1
    Mark
    Mardi 16 Décembre 2014 à 23:50

    Pourquoi remercier Dieu puisqu'il est l'inventeur de l'obsolescence programmée qui est une des armes suprêmes du capitalisme?...

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