• Deux addons pour Blender 3D

    Bonjour!

     

    En faisant un peu de ménage dans les liens de mon navigateur pour l'internet, j'ai trouvé un lien vers un addon

    qui a pour but en principe de nous faciliter la vie pour faire des scènes avec les fluides.

     

    Ce addon n'est pas gratuit. Son prix de vente est 76$ (dollar US certainement).

     

    Il s'appelle FLIP Fluid.

     

    Voici ses principales caractéristiques.

     

    • High Performance
    • Whitewater Effects
    • Viscosity Effects
    • Built-in Mesh Generation
    • Fracture Modifier Support
    • Excellent  User Experience
    • Stable, Reliable and Built for You.

     

    Il est compatible avec Blender 2.79, 2.80 et 2.81.

    Pour Blender 2.80, il est écrit qu'il peut y avoir certains problèmes avec les bugs de cette version.

     

    Visitez la page de cet addon. Regardez les vidéos et les caractéristiques de ce produit

    pour voir s'il peut vous aider à faire les scènes que vous imaginez dans vos pensées.

     

    Cet addon demande d'avoir un ordinateur ayant 8GB de RAM minimum,

    avoir 16GB de RAM c'est mieux et avoir 32GB de RAM c'est encore mieux. 

     

    La simulation de fluide est exigeante sur les ressources de votre machine (je parle de votre ordi bien sûr, pas de votre caisse).

     

    =====================================================

     

    Un autre addon appelé le BoxCutter, au prix de 20 $US peut aussi être utile pour créer votre art.

     

    Voici ce qui est dit sur sa page : 

     

    Non-destructive by nature.

    Destructive by choice.

    The number #1 concept cutter.

    Only for Blender!

     

    C'est la version 7.1.4.

     

    Visiter la page web du BoxCutter.

     

    =====================================================

     

    Mes amis!

     

    Dans votre frigo, il y a des fruits, des légumes, de la viande, des oeufs, du lait, etc.

    Tous ces produits sont vos ressources alimentaires.

     

    Une scie circulaire, un marteau, un niveau, une équerre, des tournevis, des clous , des vis, etc

    sont les ressources de travail d'un menuisier.

     

    Maintenant quand on parle des ressources humaines, c'est nous, les êtres humains qui sommes devenus une ressource.

     

    Une ressource pour qui ou pourquoi. Je dirais que nous devenons une ressource pour ceux qui sont des capitalistes barbares.

    Que fait-on de nos ressources alimentaires? On les consomme, on les utilise à notre profit. 

    Nos ressources alimentaires nous permettent de nous nourrir, de rester en vie.

     

    Pour un menuisier, utiliser ses ressources de travail, ses outils lui permettent

    de fabriquer une table, des chaises ou de bâtir une maison.

     

    Le patron capitaliste fait la même chose avec nous. Il n'a pas de grands projets pour nous, pour notre vie.

    Il veut juste utiliser ses ressources humaines à son avantage, nous utiliser à son profit, rien de plus.

    Il nous utilise tout comme on utilise nos ressources alimentaires ou qu'un menuisier utilise ses ressources de travail, ses outils.

     

    Est-ce que l'on a de grands projets pour nos ressources alimentaires? Non, tout ce qu'on veut c'est les manger.

     

    Le menuisier at-il de grands projets pour ses ressources de travail, ses outils?

    Non, tout ce qu'il veut de ses outils, c'est de les utiliser pour pouvoir faire une table, une chaise ou construire une maison.

     

    Il en est de même avec le capitalisme barbare.

    Que veut le capitalisme barbare de ses ressources humaines?

    Il veut simplement les utiliser à son avantage, à son profit.

     

    En tant que ressource humaine, en tant qu'employé, une entreprise capitaliste ne nous engage pas pour nous faire un cadeau.

    Elle nous engage en tant que ressource, une ressource qui travaillera à assembler un produit ou à fournir un service que la

    compagnie capitaliste pourra vendre pour s'enrichir.

     

    Bien sûr, le patron capitaliste nous paiera d'un montant d'argent qui sera d'une valeur inférieure

    à la valeur que nous ajoutons au produit ou au service que nous rendons à un client.

    La partie du montant de la valeur que nous ajoutons qui ne nous est pas versée s'appelle un profit pour le patron.

     

    Exemple concret tout simple.

     

    Vous achetez le bois, la peinture et les clous pour faire une cabane d'oiseau. Tout ceci vous coûte 5 dollars.

    Vous assemblez votre cabane d'oiseau et puis vous la vendez 15 dollars. Votre bénéfice ou la valeur que vous avez

    ajouté au produit est donc de 10 dollars. Ce 10 dollars vous appartient car c'est vous qui avez assemblé la cabane d'oiseau.

     

    Maintenant, un patron capitaliste paie le 5 dollars pour la peinture, le bois et les clous.

    Vous travaillez pour ce patron et assemblé la cabane d'oiseau.

    Le patron vend la cabane d'oiseau 15 dollars et il vous donne 4 dollars.

     

    Que fait ce patron capitaliste? Il vous vole de 6 dollars car c'est vous qui avez ajouté une valeur de 10 dollars

    à la cabane d'oiseau en l'assemblant. Pour être juste le patron devrait garder 5 dollars et vous donner 10 dollars.

     

    Mais voilà! Le capitalisme c'est l'homme qui exploite l'homme.

    Nul ne peut faire de profit sur le travail d'un autre sans le voler ou bien sans voler le client

    en lui vendant un produit plus cher que sa vraie valeur. 

     

    Pourquoi tant d'êtres humains acceptent-ils de se faire voler par des patrons capitalistes?

    C'est que le capitalisme transforme l'être humain en mouton humain, en flaque d'eau dès son plus jeune âge

    grâce à l'école publique qui est sous son contrôle. De plus le capitalisme inonde l'être humain sous l'information

    dans le but de l'empêcher de pouvoir penser par lui-même et qu'il se rendre compte de sa force intérieure.

     

    L'école publique est donc au service du capitalisme pour transformer l'être humain en employé, c'est-à-dire en flaque d'eau,

    en mouton humain doux et obéissant. On obéit à monsieur le maire, à son docteur, au notaire, à la police, à toute personne

    en position d'autorité, on obéit à son chat qui miaule près de la porte ou même à la lumière rouge, jaune ou verte au coin de la

    rue malgré qu'il soit 3 heures du matin et qu'il n'y ait pas une ombre qui bouge.

     

    Obéir et s'écraser comme une flaque d'eau. On sait faire cela. On l'a appris à l'école en agissant ainsi pendant au moins 10 ans.

    "On ne peut rien faire", voilà ce que dit le mouton humain en gémissant sur sa misérable existence.

     

    À la prochaine!

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